19/03/08
Pour Jérôme
Je me suis saoulée de son odeur, de ses caresses, de ses baisers
Me laisser bercer et m’endormir dans ses bras m’a été chose aisée
Mais le réveil a été brutal pour ne pas dire fatal
Je m’en faisais toute une histoire même si c’est banal.
Tu es arrivé tel le prince charmant sur son cheval blanc
Tu as déposé un baiser sur mon front brûlant comme si j’étais la belle au bois dormant
J’ai ouvert les yeux, je t’ai ouvert mon cœur, ne le déchire pas
Et moi je ferais en sorte de toujours prendre soin de toi.