Le 20 Février 2007
Coran Horn
Mon bien aimé, je vous aime, je ne peux m'empêcher de penser à vous
Dans mes rêves naissent de bien coupables pensées, je l'avoue
Mais de vous à moi je dois confesser que vous m'avez ensorcelé,
J'espère qu'à votre retour imminent notre union pourra être scellé.
Maintenant je sais que notre destiné est d'être ensemble
Je ne voulais pas voir à quel point on se ressemble
Mais je ne peux plus fermer les yeux, à mon esprit votre souvenir
Même lorsque d'autres me font la cours, je voie votre sourire.
Devoir me taire me pèse, je suis impatiente de pouvoir avouer au monde entier notre amour
Car certains prétendants se font plus pressant et je ne peux dire que j'attend votre retour
Surtout que vous êtes un Héritier de Rome et moi une simple roturière, cela est inconvenant
Je me contenterais d'un chaste baiser avant de mourir si nous ne pouvons être amant.
début pris sur le poème mon bien-aimé