Le 1er Février 2007
Tu es sur moi, tu dis vouloir cueillir ma fleur
tu écarte mes jambes, tu me pénètres, quelle horreur!
Pour tant je te repousse, du moins j'essaye mais j'ai peur
Je te dis non, tu me dis que je suis tienne, mes cris sont etouffés par la terreur
Tu m'ordonnes de me laisser faire, il fait froid et pourtant je suis moite de sueur
Mes yeux sont remplies de larmes, ma vision troublée par mes pleurs.
Mais je ne pourrais jamais oublier ton visage rempli de fureur
Je voudrais me laisser glisser dans la torpeur
Je ne pourrais jamais te voir autrement que comme un violeur
En fait je crois que je ne pourrais jamais voir un homme sans terreur
Rien ne pourra jamais atténuer ce mal j'ai envie de hurler ma douleur
Tu te foutais de mes larmes, de mon sang sur ton dard, de son odeur
Tu aurais voulu que je le prenne dans ma bouche mais de mes dents tu as eu peur
Tu ne m'aurais pas autant fait souffrir en me plantant un couteau dans le coeur.