Le 24 Mars 2003
Conjuration
Quand, vous, mes fantômes, me laisserez-vous tranquille,
Me laisserez-vous vivre en paix et en harmonie,
Quand va finir cette agonie.
Pourquoi n'ai-je pas eu d'enfance futile?
Comme dans mes rêves, vous m'apparaissez
Tels que vous devriez être aujourd'hui,
Je prend des calmants quand vient la nuit
Alors que j'ai des soucis pour pouvoir me reposer.
D'habitude je m'isole, me coupe du monde,
Mais cette fois-ci, vous ne m'aurez pas.
N'espérez même pas de m'attirer dans votre monde.
J'ai découvert un groupe de discussion
Je ne suis plus seule, prenez ce poème là
Comme étant une CONJURATION.
Cogithe