Le 13 Septembre 2001
Cher Loïc
L’alcool ayant embrumé ton esprit,
Je n’ai pu te parler, te dire que tu me plais
Alors je reste là, seule avec ma plaie
Pour cette situation, je n’éprouve que du mépris.
L’honnêteté n’ayant pas de prix, heureusement
Je prends la liberté de t’écrire une déclaration,
Pas une d’amour, faute de te connaître, mais une d’affection
J’espère que tu ne m’en voudras pas, sincèrement.
Je souhaite qu’on pourra, un jour, se parler tranquille
Aussi bien de l’utile que du futile
Et que naîtra, alors, ce sentiment le plus noble qu’est l’amour.
Cogithe