Juillet 2001
Désir
Lorsque mes yeux croisent tes yeux, je sens mon cœur
S’emballer, s’enflammer, s’embraser… se serrer
A ce moment là, je suis sûre de t’aimer
Et mes yeux, malgré moi, se remplissent de pleurs.
L’aube n’est pas plus pure que le fond de mon cœur
Je suis prête à te donner tout mon amour
J’ai peur que toi non, que ce le sera toujours
Mais l’espoir, malgré moi, s’est glissé dans mon cœur.
Je souhaite qu’on pourra, un jour, se parler
S’enlacer, s’embrasser, s’enflammer… se baiser
Et qu’on n’aura pas peur de dire: «je t’aime».
Cogithe